L’art est fait pour être

montré, commenté et exporté.

 

On produit pour soi et aussi pour les autres La prise de risque qu’entraîne le regard public est une donnée importante pour franchir d’autres étapes, aller plus loin, pouvoir reproduire ses réussites

Contre vents et marées 

 

Nous gardons les pieds sur terre.

 

 

 

 

 

Fin du 2ème confinement 

Les am’arts ont rendez-vous avec l’IRTS (Institut Régional du Travail Social).

Sonia Roubacka (voir § intervenants) est intervenue dans un atelier conte et théâtre auprès d'étudiants éducateurs spécialisés en 1ère année.

 

Pour beaucoup, l’imaginaire était coincé. Sortir de la langueur de ces dernier mois et de son quotidien a été difficile.

 

Pauvres étudiants 

Septembre était leur entrée. Puis, que des cours en distanciel, donc pas d’échanges informels pendant les intercours.

Comment lâcher sa colère ou ses désaccords et avoir des réponses variées ? Comment les indécis expriment-ils leurs doutes ? Comment les obtus changent-ils d’opinions ? Et comment les plus inhibés s’en sortent-ils ?... En bref, tout le pan invisible de la formation est en grave carence.

Janvier : 1er cour en présentiel

Les étudiants ne savaient pas qu’ils allaient faire du conte.  Par contre, ils savaient qu’ils seraient en groupe et, ça, ils en avaient fortement envie.

 

 

 

Ensemble 

Nous avons franchi différentes étapes : la découverte, la tristesse, la complicité, la colère, la légèreté, la                                               peur, le trac, la joie...                                     

 

Telles des marguerites effeuillées

les étudiants ont aimé un peu, beaucoup…Et au final ? Un champ de beauté a fleuri. 

 

Tisser des liens avec les habitants

du plateau de Vitry sur Seine

 

2ème tissage (voir § année 2020) 

Jeux de théâtre et écriture 

Des adultes du plateau sont invités à écrire sur le présent et le futur du quartier, les jeux théâtraux servant de support à l'écriture.

 

Fin janvier, personne n’est venu pour jouer, échanger, écrire.

 

Pourquoi ?

Faute à pas d'chance ?

Projet pas motivant ?

 

 

Que faire ?

Attendre des vents nouveaux ? Réfléchir autrement ?

Réfléchir autrement

Puisque les gens ne viennent pas à nous, nous irons vers eux par un micro trottoir et des rencontres improvisées dans le centre social. Nous les questionnerons sur leur présent et leur demanderons comment ils envisagent le futur dans leur quartier : leurs projections, leurs désespoirs/espoirs..

Un questionnaire en ce sens sera également envoyé aux adhérents